
un écrivain qui ne comprend rien !
un écrivain qui ne comprend rien !
je suis l'auteur d'un livre : le dernier cri du chat (isbn : 2748144163) aux éditions le manuscrit par défaut. je dis par défaut car cette boîte n'est pas réellement un éditeur, comme je l'entends (distribution, animation, relation etc) mais mon livre se vend grâce à mes efforts de guerre auprès de la presse locale, des radios et d'internet ! J'ai d'autres manuscrits en cours de lecture : mais y a t-il des trucs que je ne connais pas pour parvenir à convaincre du .... chiffre d'affaire potentiel ! les gros éditeurs de la place ? comment les lecteurs travaillent-t-ils et sont-ils obnubilés par le mot .......produits formatés ? 

si vous rêver d'un livre, ne les faites plus, achetez le mien : le dernier cri du chat isbn : 2748144163
Dans mon activité, c'est aussi trés fréquent de s'autoéditer des recueils, je le fais de temps en temps, nous avons le même probléme...
En fait quand on est autoédité , à moins d'avoir déjà un réseau d'amis libraires, la vente et la communication pour vendre ses bouquins est bien sur fort difficile.
Le meilleur moyen de diffusion et pour le faire connaitre reste des foires du livres ou des salons où on peut aller vers le lecteur... j'ai pas mal de copains écrivains qui font cela toute l'année..., beaucoup en fait vendent eux même leur production que ce soit via le net ou directement dans des salons.
C'est évident que le nombre d'exemplaire vendus reste en général assez bas par rapport à un roman de grande diffusion qu'on peut trouver partout... d'autant que les couts de fabrication sont trés différents (nombres d'exemplaires imprimés..)
Plus spécialement dans mon cas, je sais que sur chaque autoédition, je ne rentrerai vraisemblament pas dans mes frais, je considére mes albums plus comme des outils de com ou de promotion de mon travail que comme une source de revenu !
En fait quand on est autoédité , à moins d'avoir déjà un réseau d'amis libraires, la vente et la communication pour vendre ses bouquins est bien sur fort difficile.
Le meilleur moyen de diffusion et pour le faire connaitre reste des foires du livres ou des salons où on peut aller vers le lecteur... j'ai pas mal de copains écrivains qui font cela toute l'année..., beaucoup en fait vendent eux même leur production que ce soit via le net ou directement dans des salons.
C'est évident que le nombre d'exemplaire vendus reste en général assez bas par rapport à un roman de grande diffusion qu'on peut trouver partout... d'autant que les couts de fabrication sont trés différents (nombres d'exemplaires imprimés..)
Plus spécialement dans mon cas, je sais que sur chaque autoédition, je ne rentrerai vraisemblament pas dans mes frais, je considére mes albums plus comme des outils de com ou de promotion de mon travail que comme une source de revenu !
Ceci est aussi vrai que faux. En effet être édité par un éditeur, est la meilleure solution pour ne pas se prendre la tête. Ecrire ce n'est pas faire du commercial.tym59 a écrit :C'est évident que le nombre d'exemplaire vendus reste en général assez bas par rapport à un roman de grande diffusion qu'on peut trouver partout... d'autant que les couts de fabrication sont trés différents (nombres d'exemplaires imprimés..)
Cependant être édité n'est pas une garantie de succès. Il faut savoir qu'il règne en littérature générale un fort climat de surproduction. Avec pas moins de 700 nouveautés à chaque rentrée littéraire, seul ceux qui vont chez Ardisson peuvent se retrouvés sur le dessus de la pille.
La plupart des auteurs ne toucheront rien car leurs bouquins partent au pilon, c'est une réalité. Le réseau de vente et les acheteurs ne peuvent absorbés cette masse de nouveautés.
Etre en librairie c'est bien, en sortir par la caisse c'est autre chose.
Mais l'auto-édition n'est pas une activité très lucrative en principe. Dur métier que celui d'écrire.
Bah je suis d'accord avec toi, je ne faisais qu'exprimer ma propre expérienceben a a écrit :Ceci est aussi vrai que faux. En effet être édité par un éditeur, est la meilleure solution pour ne pas se prendre la tête. Ecrire ce n'est pas faire du commercial.tym59 a écrit :C'est évident que le nombre d'exemplaire vendus reste en général assez bas par rapport à un roman de grande diffusion qu'on peut trouver partout... d'autant que les couts de fabrication sont trés différents (nombres d'exemplaires imprimés..)
Mais l'auto-édition n'est pas une activité très lucrative en principe. Dur métier que celui d'écrire.
sur le sujet... qui se rapproche du probléme de notre ami écrivain, dans ma partie, à moins d'avant un "nom" fort connu du grand public, c'est fort rare que des éditeurs s'intéressent à notre activité...
Comme nous sommes quand même assez souvent dans des salons, il nous faut au moins quelques publications reliés , et c'est donc assez habituel dans mon secteur de voir de l'autoédition.
Et ayant aussi pas mal de potes écrivains qui s'autoéditent, forcément je connais assez bien le sujet

Partager nos expériences, c'est à mon avis le but d'un forum comme celui ci, si ça peut aider quelqu'un

Je ne faisais pas une remarque négative, j'apportais juste une précision. Moi je vois le problème du point de vue de l'éditeur c'est tout.
Un auteur qui me dit qu'il veut s'auto-éditer, je suis pas contre, mais je l'encouragerais pas non plus. Maintenant c'est pas parce qu'une maison va prendre son livre que ça marchera mieux.
Le gros problème c'est la surproduction. Il y a trop de livres. Vincent Lyndon disait que le secteur de l'édition est masochiste, car c'est le seul à répondre par une hausse de la l'offre à une baisse de la demande.
Mais ce système est entretenu par le climat de concentration du secteur. Pour garder leur monopole ou leurs parts de marchés les maisons produisent sans cesse plus pour essayer d'étouffer le voisin. Cette stratégie fonctionne plus ou moins bien. Ceux qui pâtissent le plus c'est les auteurs, car leurs chances de vendre sont moindres.
Les grands gagnants de l'histoire (qui poussent cette pratique) c'est les diffuseurs/distributeurs. Eux gagnent à tout les coups, vendus ou pas, les commandes sont traités, les acheminements, les retours et la gestion des stock facturés.
Les imprimeurs se plaignent pas non plus mais sont en dehors de cette politique.
Un auteur qui me dit qu'il veut s'auto-éditer, je suis pas contre, mais je l'encouragerais pas non plus. Maintenant c'est pas parce qu'une maison va prendre son livre que ça marchera mieux.
Le gros problème c'est la surproduction. Il y a trop de livres. Vincent Lyndon disait que le secteur de l'édition est masochiste, car c'est le seul à répondre par une hausse de la l'offre à une baisse de la demande.
Mais ce système est entretenu par le climat de concentration du secteur. Pour garder leur monopole ou leurs parts de marchés les maisons produisent sans cesse plus pour essayer d'étouffer le voisin. Cette stratégie fonctionne plus ou moins bien. Ceux qui pâtissent le plus c'est les auteurs, car leurs chances de vendre sont moindres.
Les grands gagnants de l'histoire (qui poussent cette pratique) c'est les diffuseurs/distributeurs. Eux gagnent à tout les coups, vendus ou pas, les commandes sont traités, les acheminements, les retours et la gestion des stock facturés.
Les imprimeurs se plaignent pas non plus mais sont en dehors de cette politique.
D'accord avec toi , l'autoédition n'est franchement pas rentable... et demande pas mal de boulot et d'investissement qu'on préférerait occuper à autre chose comme la création ! mais dans certains secteurs d'activité c'est presque un passage obligé surtout si on est présent dans des salons professionnels, le bouquin édité sert avant tout comme outil de promotion et de notoriété...
en fait on est souvent édité une fois connu, mais pour être connu c'est mieux d'être édité
en fait on est souvent édité une fois connu, mais pour être connu c'est mieux d'être édité

La vraie question n'est pas de savoir "comment comprendre le fonctionnement du tuyau " (l'édition, la pub, les réseaux...), mais : "est-ce que j'ai quelquechose de bon à mettre dans le tuyau ?"... Pour avoir lu des extraits de votre livre, le truc du chat, je crois que vous devriez demander l'avis de gens sincères pour qu'ils vous découragent une fois pour toute. Votre écriture n'est pas terrible. Le style pèse lourd, les clichés foisonnent, l'ensemble est indigeste. Désolé d'être aussi franc, mais un rêve qui n'a aucune chance d'aboutir (le succès, la reconnaissance) est un terrible cancer quand on en sait pas s'en débarrasser. Bon courage pour votre plan B après la "littérature".
hi
oui en fait le mieux encore c'est d'etre édité et d'être lu mais là ce sont de beaux rêves parfois si durs a réaliser..............
Oh les affreux !
Ben dis donc... d'abord bonjour la compagnie c mon premier message sur ce forum (OuaIiIiIissss !!!) et... je suis dans le même cas que notre ami CChaillet, j'ai aussi un manuscrit chez manuscrit.com (mais je vous dirais pas lequel vu la claque qui s'est prise là) mais je tenais à vous dire que : 1/ z'y allez pas avé le dos de la cuillère 2/ c trop drôle héhéhéhé j'adore vous lire
Vive les mots ! A bientôt 

