Merci de rassurer sur les oraux
Concours EJT 2008
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Bruno974
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Adibounours
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Blogtrotteuse
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Les anciens sont-ils admis ici ?
Bonjour à tous,
Je me permets de vous écrire car c'est avec une pointe de nostalgie que je viens de lire tous vos messages... Je sors diplômée de l'EjT cette année, je suis donc rentrée il y a 2 ans et demi à l'école.
Avant tout, je voudrais vous dire qu'en effet on n'a pas la même réputation qu'à Lille, Paris ou Strasbourg. En effet, il n'y a pas 900 candidats qui se battent pour 60 places (mais vu qu'il y en a 400 pour 31 places, c'est à peu près pareil...). En effet, certains médias ne nous ouvrent pas leur porte même pour des stages non rémunérés car nous étudions - quel malheur ! - au sud de la Loire.
Mais je voudrais aussi vous rassurer. S'il a des petits couacs administratifs parfois, cette école représente les 3 meilleures années de ma vie. Sans elle, jamais je n'aurais appris la technique en radio, en télé ou même en presse écrite. Jamais je n'aurais rencontré des personnes professionnellement formidables (les intervenants) et personnellement géniales (la promo !). Bref, vous avez fait le bon choix en vous inscrivant !
Concernant le concours maintenant... Soyez vous-même au moment de l'entretien de motivation puisque c'est surtout ça qui a l'air de vous faire peur. Rien de plus ennuyeux que 31 clones, non ? ;o) Mettez en valeur vos hobbies, réfléchissez à vos qualités et vos défauts, à un reportage (que vous avez réalisé) qui vous a marqué.... bref parlez avec vos tripes ! Et si vous n'avez encore rien fait dans le journalisme, préparez-vous à répondre encore mieux que les autres à la question "Pourquoi vous lancer dans le journalisme si vous n'avez jamais mis les pieds dans ce milieu ?". Idem si vous êtes jeunes (dans ma classe, on est rentré avec minimum licence, beaucoup de maîtrise et quelques DESS/DEA), "Pourquoi vous lancer si tôt dans une école ?". Parce qu'à la fin de l'EjT, c'est l'insertion professionnelle, pas le retour à la fac !
Voilà, j'espère vous avoir aidé... je vous envoie en tout cas beaucoup de courage !!!
Je me permets de vous écrire car c'est avec une pointe de nostalgie que je viens de lire tous vos messages... Je sors diplômée de l'EjT cette année, je suis donc rentrée il y a 2 ans et demi à l'école.
Avant tout, je voudrais vous dire qu'en effet on n'a pas la même réputation qu'à Lille, Paris ou Strasbourg. En effet, il n'y a pas 900 candidats qui se battent pour 60 places (mais vu qu'il y en a 400 pour 31 places, c'est à peu près pareil...). En effet, certains médias ne nous ouvrent pas leur porte même pour des stages non rémunérés car nous étudions - quel malheur ! - au sud de la Loire.
Mais je voudrais aussi vous rassurer. S'il a des petits couacs administratifs parfois, cette école représente les 3 meilleures années de ma vie. Sans elle, jamais je n'aurais appris la technique en radio, en télé ou même en presse écrite. Jamais je n'aurais rencontré des personnes professionnellement formidables (les intervenants) et personnellement géniales (la promo !). Bref, vous avez fait le bon choix en vous inscrivant !
Concernant le concours maintenant... Soyez vous-même au moment de l'entretien de motivation puisque c'est surtout ça qui a l'air de vous faire peur. Rien de plus ennuyeux que 31 clones, non ? ;o) Mettez en valeur vos hobbies, réfléchissez à vos qualités et vos défauts, à un reportage (que vous avez réalisé) qui vous a marqué.... bref parlez avec vos tripes ! Et si vous n'avez encore rien fait dans le journalisme, préparez-vous à répondre encore mieux que les autres à la question "Pourquoi vous lancer dans le journalisme si vous n'avez jamais mis les pieds dans ce milieu ?". Idem si vous êtes jeunes (dans ma classe, on est rentré avec minimum licence, beaucoup de maîtrise et quelques DESS/DEA), "Pourquoi vous lancer si tôt dans une école ?". Parce qu'à la fin de l'EjT, c'est l'insertion professionnelle, pas le retour à la fac !
Voilà, j'espère vous avoir aidé... je vous envoie en tout cas beaucoup de courage !!!
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Kikao
concours ejt 2008
message supprimé.
Dernière modification par Kikao le 04 juil. 2009, 01:26, modifié 1 fois.
Le problème étant qu'il est plus accessible pour tout le monde. Et que ce monde, c'est justement des personnes qui sont admissibles au Celsa par exemple.
La difficulté d'un concours ne se résume pas aux épreuves, mais bien plus aux personnes qui le passent. Et de ce point de vue, une fois de plus, je ne me fais pas d'illusion ...
La difficulté d'un concours ne se résume pas aux épreuves, mais bien plus aux personnes qui le passent. Et de ce point de vue, une fois de plus, je ne me fais pas d'illusion ...
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Bruno974
Une remarque. La culture gé et, surtout, l'actu, vous ne devez jamais vous dire que vous vous en occuperez l'an prochain.J'ai bien vu, depuis le début des concours, que je n'étais pas au niveau pour ce qui est de la culture g et de l'actu. Ce qui fait beaucoup de points en moins Wink
quand on est journaliste, on s'occupe TOUJOURS de l'actu. Qu'on soit en vacances, au boulot, en week-end, on ne décroche jamais vraiment. Sinon faut pas faire ce métier ou alors faire journaliste spécialisé dans un domaine précis, et même là, on suivra toujours... l'actu de ce domaine. C'est ça, agir en professionnel de l'info, et ça devient assez vite naturel, en fait.
Il s'agit d'une démarche. Un certain nombre d'étudiants réussisent les concours des écoles et après se relâchent et n'ouvrent pratiquement plus un journal. A mon avis ils ont tort.
Enfin, j'dis surement ça parce que je suis un vieux con.
Et il est jamais trop tard pour s'y mettre, je ne veux démoraliser personne. La réponse n'était pas spécifiquement destinée à la personne que j'ai citée.
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Bruno974