Réel besoin d'une école ?
Publié : 27 juin 2007, 11:09
N'ayant été admissible à aucun des trois concours passés (ifp, cfj, celsa), il est possible que cela biaise ma réflexion et me rende aigrie 
néanmoins, je suis en stage actuellement à france soir, et je me rends compte qu'il n'y a rien de plus formateur que le terrain, en tout cas pour la presse écrite. un de mes profs d'info com à l'ifp me l'avait déjà dit, les écoles servent bien souvent à intégrer un réseau de contacts et avoir un carnet d'adresses plus facilement remplissable. bien sûr que pour l'audiovisuel, il est plus difficile d'être autodidacte et de se passer d'un apprentissage scolaire, mais je suis désolée, pour la presse écrite, le terrain reste le meilleur endroit où apprendre.
alors quand j'y pense, ça me révolte de voir des gens débourser jusqu'à 1000 euros de concours (frais de transport etc.), puis débourser 4000 euros pendant 2 ans, tout ça pour simplement avoir des contacts.
je sais que ce discours, vous l'avez sûrement déjà entendu de nombreuses fois, et que c'est plus un coup d'épee dans l'eau qu'autre chose, mais chacun sa thérapie pour relativiser les échecs.


néanmoins, je suis en stage actuellement à france soir, et je me rends compte qu'il n'y a rien de plus formateur que le terrain, en tout cas pour la presse écrite. un de mes profs d'info com à l'ifp me l'avait déjà dit, les écoles servent bien souvent à intégrer un réseau de contacts et avoir un carnet d'adresses plus facilement remplissable. bien sûr que pour l'audiovisuel, il est plus difficile d'être autodidacte et de se passer d'un apprentissage scolaire, mais je suis désolée, pour la presse écrite, le terrain reste le meilleur endroit où apprendre.
alors quand j'y pense, ça me révolte de voir des gens débourser jusqu'à 1000 euros de concours (frais de transport etc.), puis débourser 4000 euros pendant 2 ans, tout ça pour simplement avoir des contacts.
je sais que ce discours, vous l'avez sûrement déjà entendu de nombreuses fois, et que c'est plus un coup d'épee dans l'eau qu'autre chose, mais chacun sa thérapie pour relativiser les échecs.
