Réponses en faveur du oui :
L’unanimité (Opposée comme bloquante) : C'est pourtant un principe fondamental démocratique qui reconnaît L’universalité d’un texte, d’une proposition ou d’une loi.
La non représentation (représentation au 2/3 par rotation) (opposée comme étant une minorité au pouvoir) : Le principe d’une démocratie est qu’une minorité puisse accéder à une fonction générale. Les textes étant adoptés à L’unanimité avec une portée universelle.
La France est championne de l’assistanat, politique, médical, social, relationnel. Peut-on considérer comme un suicide politique de « s’abaisser à écouter et suivre » ce que 2/3 d’une population vote à l’unanimité, alors que son handicap (français) même est de considérer la fonction comme une capacité, et à l’inverse la non fonction comme une immaturité.
L’Europe Nain (Opposée face au géant commercial USA) : C’est un argument inverse, si l’on veut une constitution sociale, on ne opposer une constitution qui ne soit pas « commerciale »
L’impossibilité d’harmoniser la législation sociale des états membres : Chacun conserve une protection acquise, et je suis minimalement protégé, en plus, dans les états de l’union.
Garanties illusoires du « droit de travailler » :
Le droit au travail de la constitution Française, n’est pas plus respecté en France. Bien que formé, avec expérience, et de nationalité française, la préférence Française se porte sur des aspects discriminatoires, ou de ségrégation (« rituelle ») « d’interprétations ouvertement divergentes, de sens opposé ». (cf .assistanat)
Il en est de même pour le choix « de son plein gré » ( opposé négativement) concernant une durée travaillée, qui ne correspondrait plus à une volonté étatique « d’exclusion ou ségrégation » imposée, c'est donc une "possibilité positive"
Une Europe où « Il serait interdit, également, d’imposer à ces prestataire de services des normes d’équipement ou des normes d’encadrement (tant d’infirmières par lit d’hôpital, par exemple). ». C’est un argument communiste « Ne plus interdire d’imposer » Cela s’appelle une liberté, une maturité, une possibilité.
C’est un coup de pied dans la fourmilière France, qui se retrouve au pied du mur de la confrontation des réalités d’une interprétation « normale » de textes plein de bonnes intentions, mais d'une pratique « déviante ».
Gageons négativement que ces privilèges trouveront en france la maladie qui les préserve.
Oui à l’Europe,
[/i]« Une constitution ayant pour but la plus grande liberté humaine fondée sur des lois qui permettrait à la liberté de chacun de pouvoir subsister en accord avec celles des autres….c’est là au moins une idée nécessaire…..,et dans laquelle on doit faire abstraction à tous les obstacles présents »