Je suis HEUREUSE ! :D Merci...
EDIT : en effet, la date du concours a changé. Par contre cela me semble irréalisable de faire faire les écrits et les oraux le même jour. C'est pourtant ce qui est écrit sur le site de l'IUT : "Les épreuves d'admissibilité et d'admission en année spéciale de DUT journalisme auront lieu le mardi 17 juin, toute la journée"Sana19 a écrit :Avis aux candidats pour l'ASJ à Tours, les épreuves ont apparemment lieu le 17 juin et plus le 20 mai comme c'était prévu initialement. Parcontre, je ne sais pas si les épreuves écrites et orales ont lieu le même jour ou pas.
Si vous avez plus de renseignements, n'hésitez pas!
C'est étonnant ce changement. Quelqu'un en connait-il la raison ?
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Je serai moins dur que Boussicot mais j'attire tout de même ton attention, chère Florie, sur le fait que ce forum est très fréquenté par la profession. A commencer par les enseignants de ce fameux IUT que rien n'empêche de consulter les posts sur leur école, et qui sont maintenant très bien renseignés sur tes aspirations, ton état d'esprit, ton tourbillon permanent, la taille de ta frange et la couleur de ton sac.
Reste plus qu'à espérer qu'ils trouvent, comme nous (comme moi en tout cas), tout ça plutôt charmant et ne tentent pas la destabilisation facile. A toi de t'y préparer et d'argumenter sur la haute inspiration qui t'a poussée à préparer le terrain de l'entretien en attirant précisément l'attention sur ta candidature.
Que les dieux de la plume soient avec toi...
Reste plus qu'à espérer qu'ils trouvent, comme nous (comme moi en tout cas), tout ça plutôt charmant et ne tentent pas la destabilisation facile. A toi de t'y préparer et d'argumenter sur la haute inspiration qui t'a poussée à préparer le terrain de l'entretien en attirant précisément l'attention sur ta candidature.
Que les dieux de la plume soient avec toi...
Mais pourquoi ?
Salut à tous !
D'abord félicitations à tous ceux dont le dossier a été accepté pour l'ASJ de Tours ! Ce n'est pas mon cas - en tout cas c'est comme ça que je comprends le "refusé" sur la même ligne que "choix 1". C'est la deuxième fois que j'envoie mon dossier à Tours, deuxième refus. En 2005, la spécialité "presse magazine" m'intéressait mais je n'avais pas préparer les concours donc pas de regret. Mais cette année, j'avais , me semblait-il, un meilleur dossier. Selon vous, quel type de profil recherche-t-on à Tours ? Je n'ai qu'un mois de stage à mon actif, et déjà 5 ans d'études supérieures (vocation tardive n'est pas moins sincère !). Peut-être que je n'ai pas réussi à transmettre ma motivation via ma lettre ? Bref, je cherche à savoir ce qui n'allait pas. Si vous avez une idée, n'hésitez pas à m'en faire part ! Ce qui m'embête un peu, c'est que j'ai renoncé à candidater à l'ICM de Grenoble pour ne pas trop concentrer les épreuves et voyages en train...mauvaise stratégie je le crains !
Merci par avance pour vos réponse !
D'abord félicitations à tous ceux dont le dossier a été accepté pour l'ASJ de Tours ! Ce n'est pas mon cas - en tout cas c'est comme ça que je comprends le "refusé" sur la même ligne que "choix 1". C'est la deuxième fois que j'envoie mon dossier à Tours, deuxième refus. En 2005, la spécialité "presse magazine" m'intéressait mais je n'avais pas préparer les concours donc pas de regret. Mais cette année, j'avais , me semblait-il, un meilleur dossier. Selon vous, quel type de profil recherche-t-on à Tours ? Je n'ai qu'un mois de stage à mon actif, et déjà 5 ans d'études supérieures (vocation tardive n'est pas moins sincère !). Peut-être que je n'ai pas réussi à transmettre ma motivation via ma lettre ? Bref, je cherche à savoir ce qui n'allait pas. Si vous avez une idée, n'hésitez pas à m'en faire part ! Ce qui m'embête un peu, c'est que j'ai renoncé à candidater à l'ICM de Grenoble pour ne pas trop concentrer les épreuves et voyages en train...mauvaise stratégie je le crains !
Merci par avance pour vos réponse !
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Ça ne sert à rien de téléphoner, j'ai déjà demandé, ils ne souhaitent pas donner les raisons précises des refus. De toute façon au téléphone vous n'aurez que le secrétariat, et ce ne sont pas eux qui sélectionnent les dossiers.
Par contre, c'est sûr qu'ils cherchent des "profils" : des gens qui savent où ils veulent aller, et non pas des gens qui se cherchent, qui voudraient se tester, ou découvrir le métier.
Quant au concours, les épreuves écrites et orales de l'ASJ se dérouleront bien en juin sur une seule journée. Le programme sera donc plus intensif, et la sélection a été légèrement plus drastique au dossier : une trentaines de candidats retenus en moins que par l'an passé.
(je suis aussi étudiante à l'IUT de Tours, en ASJ cette année)
Par contre, c'est sûr qu'ils cherchent des "profils" : des gens qui savent où ils veulent aller, et non pas des gens qui se cherchent, qui voudraient se tester, ou découvrir le métier.
Quant au concours, les épreuves écrites et orales de l'ASJ se dérouleront bien en juin sur une seule journée. Le programme sera donc plus intensif, et la sélection a été légèrement plus drastique au dossier : une trentaines de candidats retenus en moins que par l'an passé.
(je suis aussi étudiante à l'IUT de Tours, en ASJ cette année)
Je ne voudrais pas casser cette vivifiante ambiance estudiantine en exhortant quiconque à ne pas suivre des études journalistiques proprement dites, mais, et cela a été maintes fois dit sur ce forum, l'essentiel est ailleurs. Se former intellectuellement ; lire beaucoup ; bref se cultiver, dans son acception la plus large ; se lancer dans le grand bain dès que possible, afin de se forger son propre style : voilà ce qui constitue les bases de la profession. Et si force est de reconnaître qu'une école peut permettre à un étudiant de mettre le pied à l'étrier tout en lui donnant des premières bases, rien ne vaut de se frotter, au plus vite, à la réalité du métier, quitte, et cela fait partie du chemin initiatique, à essuyer quelques cuisants échecs, à l'aube de sa carrière.
J'ai 41 ans, journaliste depuis quinze ans ; je n'ai fait aucune école ad hoc ; je ne suis pas né une cuiller d'argent dans la bouche, pas plus que je n'ai jamais disposé du moindre piston ; cela ne m'empêche pas de me débrouiller plus que bien, financièrement parlant, et de m'épanouir, tout en restant un journaliste indépendant.
J'ai 41 ans, journaliste depuis quinze ans ; je n'ai fait aucune école ad hoc ; je ne suis pas né une cuiller d'argent dans la bouche, pas plus que je n'ai jamais disposé du moindre piston ; cela ne m'empêche pas de me débrouiller plus que bien, financièrement parlant, et de m'épanouir, tout en restant un journaliste indépendant.
Merci pour vos messages rapides !
Après un petit coup de déprime, je me remets dans le bain des autres concours qui m'attendent.
Tu as sans doute raison, archaud, les écoles pour les écoles, ça n'a aucun sens et le bachotage des concours (nécessaire quoi qu'on en dise) n'est pas très épanouissant intellectuellement. Mais il est difficile de trouver des stages de journalisme sans école (dont les étudiants m'ont souvent été préférés lors de mes recherches de stage) et sans convention de stage. J'ai 24 ans et je dois avoué que je ne rêve pas depuis 10 ans d'être reporter de guerre. Je sais maintenant qu'il me faut être plus claire dans la présentation de mon projet professionnel (c'est peut-être moins le cas dans les autres écoles qui proposent toutes une 1ère année très large, non spécialisée). J'ai une licence pro et je sais que les intervenants professionnels qui nous parlaient de leur métier en cours ne juraient que par l'expérience professionnelle. A moi de me jeter dans le grand bain (sans bouée s'il le faut) !
Après un petit coup de déprime, je me remets dans le bain des autres concours qui m'attendent.
Tu as sans doute raison, archaud, les écoles pour les écoles, ça n'a aucun sens et le bachotage des concours (nécessaire quoi qu'on en dise) n'est pas très épanouissant intellectuellement. Mais il est difficile de trouver des stages de journalisme sans école (dont les étudiants m'ont souvent été préférés lors de mes recherches de stage) et sans convention de stage. J'ai 24 ans et je dois avoué que je ne rêve pas depuis 10 ans d'être reporter de guerre. Je sais maintenant qu'il me faut être plus claire dans la présentation de mon projet professionnel (c'est peut-être moins le cas dans les autres écoles qui proposent toutes une 1ère année très large, non spécialisée). J'ai une licence pro et je sais que les intervenants professionnels qui nous parlaient de leur métier en cours ne juraient que par l'expérience professionnelle. A moi de me jeter dans le grand bain (sans bouée s'il le faut) !
Je ne sais pas exactement... Mais si cela peut vous aiguiller, je crois que l'an dernier on était moins d'une centaine à l'écrit d'ASJ (comptez -30 candidats environ cette année).
Dans tous les cas, si cela se passe comme l'an dernier, à la fin il y aura 16 candidats retenus en liste principale, et 16 candidats retenus en liste secondaire.
Dans tous les cas, si cela se passe comme l'an dernier, à la fin il y aura 16 candidats retenus en liste principale, et 16 candidats retenus en liste secondaire.
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Je n'en sais pas plus, désolée.Adibounours a écrit :Et en ce qui concerne le concours DUT, tu as des chiffres ? Combien de dossiers envoyés ? Combien sélectionnés pour l'écrit... ?
Pour ce qui est des conseils... continuez à suivre l'actu (jusqu'au matin du concours), révisez celle des précédents mois, n'oubliez pas la culture gé, et surtout, venez en pleine connaissance du monde du journalisme. Lisez des livres sur le sujet, parcourez les blogs de journalistes (et categorynet), faites des stages, et si vous n'allez plus le temps, allez frapper aux portes des rédacs' et discutez une petite heure avec les journalistes qui sont là !
Et puis aussi DE-TEN-DEZ vous !!!
Posez-vous au soleil, bronzez, écoutez de la musique, voyez vos amis et votre famille, dormez. Ayez confiance en vous (sans devenir prétentieux). Et n'en faites pas une obsession, le monde ne tourne pas autour de ces concours. Ayez aussi une idée de ce que vous ferez si vous ne les obtenez pas...