sarkoland
Publié : 07 mai 2007, 12:38
En premier lieu, je tiens à remercier, tous les journalistes sans qui cette victoire n'aurrait été possible.
Mes pensées vont vers jean pierre elkabach, jean pierre pernaud, la rédaction du figaro et tous ceux qui ont su la fermer alors que j'avais un bilan catastrophique sur l'insécurité.
Merci aussi à tous ceux qui ont masqué les chiffres du chômage, de l'insécurité. Leur talent n'a d'égal que leur dévouement envers la cause.
Merci aussi à ma femme, Cécilia, qui malgré deux mains courantes pour violence conjugale, s'est toujours affichée à mes côtés.
merci aussi à ma "rivale", ségolène qui s'est réveillée uniquement durant les derniers jours de la campagne. Merci à tous mes "cons" citoyens dont la céssité m'a permis d'accéder au pouvoir. Au royaume des aveugles, le borgne est roi.
En revanche, je tiens à promettre 5 ans de supplices à tous ceux qui ne partagent pas mes idées, tous ceux qui ont fait le choix d'une vie marginale. tous ceux qui vivent térrés en banlieue pour qui la vie est déjà difficile. tous les journalistes indépendants animés par l'esprit d'équité et de justice.
Tous ceux qui pensent, qui réfléchissent, qui percoivent à travers mes discours, mes actes, des relans berlusconesques et buschiens. A vous tous, bonne chance, je ne vous oublierai pas!
Mes pensées vont vers jean pierre elkabach, jean pierre pernaud, la rédaction du figaro et tous ceux qui ont su la fermer alors que j'avais un bilan catastrophique sur l'insécurité.
Merci aussi à tous ceux qui ont masqué les chiffres du chômage, de l'insécurité. Leur talent n'a d'égal que leur dévouement envers la cause.
Merci aussi à ma femme, Cécilia, qui malgré deux mains courantes pour violence conjugale, s'est toujours affichée à mes côtés.
merci aussi à ma "rivale", ségolène qui s'est réveillée uniquement durant les derniers jours de la campagne. Merci à tous mes "cons" citoyens dont la céssité m'a permis d'accéder au pouvoir. Au royaume des aveugles, le borgne est roi.
En revanche, je tiens à promettre 5 ans de supplices à tous ceux qui ne partagent pas mes idées, tous ceux qui ont fait le choix d'une vie marginale. tous ceux qui vivent térrés en banlieue pour qui la vie est déjà difficile. tous les journalistes indépendants animés par l'esprit d'équité et de justice.
Tous ceux qui pensent, qui réfléchissent, qui percoivent à travers mes discours, mes actes, des relans berlusconesques et buschiens. A vous tous, bonne chance, je ne vous oublierai pas!