ann65 a écrit :titicaro a écrit : L'idéal serait que je trouve enfin un stage ou un poste dans un service de correction, mais ça, ça ne se trouve pas dans le c... d'une vache apparemment...(excusez-moi, j'adore le langage fleuri, depuis qu'un professeur de français que j'adorais nous expliquât qu'il n'y avait de meilleur moyen d'être au plus vrai de son ressenti)
Je croyais que tu ne voulais pas faire de stage, car cela équivalait à bosser gratos...
Je ne connais pas l'expression :
"ça ne se trouve pas dans le cul d'une vache". Peut-être est-ce une expression régionale.
PS - Il me semble, mais c'est à vérifier que "depuis que" doit être suivi d'un indicatif et non d'un subjonctif.
Oui, c'est une expression, peut-être pas homologuée par l'Académie française, mais ça se dit, en tout cas par chez moi (région parisienne).
Sinon, Anne, je suis bluffée ! Effectivement, je ne pense pas qu'on puisse mettre le subjonctif derrière "depuis que" et pourtant, quand je l'ai écrit, je trouvais que ça sonnait bien. En même temps, si je mets à la place le passé simple, ça sonne pareil !

Cela dit, je trouve que c'est vraiment pas facile de savoir quand on doit ou peut mettre ce foutu imparfait du subjonctif (et le plus-que-parfait du subjonctif). Enfin, je veux dire, dans les cas ou celui-ci n'équivaut pas simplement à la transposition d'un verbe au subjonctif présent au passé. Genre
je veux que tu fasses tes devoirs / Je voulais qu'il fît ses devoirs. (Là ça va.) Mais dans les autres cas, quand il a par exemple valeur de conditionnel :
si j'eusse été sage, j'eusse pu regarder la télévision. Voulût-il être plus près qu'il se serait cassé la figure, là ça se corse pour moi.
Je ne voulais pas faire de stage dans l'absolu, parce qu'on me dit trop que c'est de l'exploitation, mais en fait, j'en ai besoin, d'avoir des gens dispos pour m'aider et me rassurer... Alors je ne vois pas trop d'autres moyens, plus j'y réfléchis. Et puis, la correction seul dans son coin, c'est sympa, mais... on est seul dans son coin. Enfin. Pour l'instant, j'ai corrigé deux ouvrages, une autobiographie (200 000 signes) et un roman (400 000 signes), et le retour concernant l'autobiographie a été bon. La personne était satisfaite, alors je ne me décourage pas. Cela dit, j'avoue avoir du mal à joindre les deux bouts, avec mes 200 euros pour le premier et 500 pour le second pour le mois, auxquels on va m'enlever pas mal de charges... Aïe. Ca fait mal. Mais bon, c'est la vie.
Voilà Anne, je suis en plein questionnement, ce qui fait que je me contredis peut-être parfois...
