Presse-édition même combat : la correction orthotypographique se perd pour une double, voire une triple raison : les auteurs livrent des fichiers Word sans ressaisie, donc sans correction. Ils sont eux-mêmes de plus en plus ignorants de l'orthographe. L'éditeur voit son programme de parution s'accélérer. Il réduit ses coûts et confie une relecture souvent unique à un assistant peu professionnel. Ce qui nous fait au moins quatre raisons...
Le premier éditeur auquel j'ai adressé des pages corrigées m'a... confié régulièrement depuis des travaux de correction. Le second a beaucoup apprécié, mais m'a expliqué ne pouvoir investir dans la correction. Le troisième ne m'a jamais répondu.
Perseverare n'est pas toujours diabolicum.
Mais la lecture des messages de ce forum est déjà un régal – ou un désespoir – pour les correcteurs
